Broken Wide Open ( French: Brisé Grand Ouvert ) - Translation Example 12

————— Original Text —————

Leo

“Grace? Grace! What’s wrong?” God, this woman drove me crazy. She’d taken off alone through the woods in the dark. We’d kissed. I’d dreamt about that kiss for the past two months. It was an amazing kiss. I wanted more. Everything was so perfect. The sky was beautiful. The clouds had even cooperated, giving us one of the most spectacular sunsets so far this year.

I jumped up to follow her. It was dark, and I worried that she might take a wrong turn. I tapped on the light from my phone as a scream came from a short way ahead of me. I ran toward the sound.

Grace was down on her knees in the dirt.

“Quattro,” she groaned through gritted teeth.

I wrapped my hand around her arm and tugged her upright. She gazed into my eyes, tears staining her cheeks. Why was she crying?

“Are you hurt?”

“No. I’m okay.” Blood dripped from her fingers, and she took a step to run away from me but stumbled again.

“Dammit, Grace.” I scooped her up into my arms and carried her toward the restaurant.

“No, Leo. Please don’t take me inside there. Your father…”

She was right. My father wasn’t the only one inside. Other employees would see me carrying their new manager in my arms. She wouldn’t want to start off a new job in the arms of the owner’s son. Even though she was hurt and needed some first aid, I didn’t want Kate or anyone jumping to any conclusions and gossiping. I didn’t think Grace would appreciate it.

So I quickly changed direction and made a beeline toward the cottage my father had had the staff set up for Grace.

————— Translated French Text —————

Léo

"Grâce? Grâce! Que se passe-t-il ?" Mon Dieu, cette femme me rendait fou. Elle était partie seule à travers les bois dans l'obscurité. Nous avions embrassé. J'avais rêvé de ce baiser pendant les deux derniers mois. C'était un baiser incroyable. Je voulais plus. Tout était si parfait. Le ciel était magnifique. Même les nuages avaient coopéré, nous offrant un des couchers de soleil les plus spectaculaires de l'année jusqu'à présent.

Je me levai pour la suivre. Il faisait nuit, et je m'inquiétais qu'elle puisse se tromper de chemin. J'allumai la lumière de mon téléphone alors qu'un cri retentissait un peu plus loin devant moi. Je courus vers le bruit.

Grâce était à genoux dans la saleté.

"Quattro," gémit-elle entre ses dents serrées.

Je passai mon bras autour de son bras et la tirai vers le haut. Elle plongea son regard dans le mien, des larmes marquaient ses joues. Pourquoi pleurait-elle ?

"Es-tu blessée ?"

"Non. Ça va." Du sang coulait de ses doigts, et elle fit un pas pour s'éloigner de moi mais trébucha à nouveau.

"Bon sang, Grâce." Je la pris dans mes bras et la portai en direction du restaurant.

"Non, Léo. S'il te plaît, ne me ramène pas là-dedans. Ton père…"

Elle avait raison. Mon père n'était pas le seul à l'intérieur. D'autres employés me verraient porter leur nouvelle directrice dans mes bras. Elle ne voudrait pas commencer un nouveau travail dans les bras du fils du propriétaire. Même si elle était blessée et avait besoin de soins, je ne voulais pas que Kate ou qui que ce soit tire des conclusions hâtives et se mette à colporter des ragots. Je ne pensais pas que Grâce l'apprécierait.

Alors je changeai rapidement de direction et me dirigeai droit vers le cottage que mon père avait fait préparer pour Grâce.