Mandorlinfiore And The Dragons Of Zonza ( French: Mandorlinfiore Et Les Dragons De Zonza ) - Translation Example 17

————— Original English Text —————

You might think that after such an eventful start to his journey that Mandorlinfiore would by now be craving the comforts of home. He did think of his adoptive parents and how much good they could do with all of the gold he had acquired, but his quest to avenge his abandonment as a baby drove him on.

By the middle of the day, he had left behind the cover of the trees and was high above the foothills of Zonza. From here he could see the thin sparkling ribbon that was the distant sea. This did give him some cause to think about his quest and while he was taking in the view and marvelling at the distance, he had already covered there came the sound of a cowbell behind him.

‘Ho traveller,’ said a tall Moor. He led a huge white ox on a silver chain. ‘I believe you have something of mine?’

‘Good day sir,’ said Mandorlinfiore, ‘If you can name it you are welcome to it.’

‘It is the Horn of Justice, the same horn that you found, cleaned and blew upon yesterday,’ the Moor smiled a broad, satisfied grin, ‘For the recovery of the horn I trust you were well rewarded?’

‘Indeed, I was,’ said Mandorlinfiore, and he reached inside his coat and took out the horn. He weighed it in the palm of his hand, ‘it is a fine piece sir.’

‘Should you find yourself in need of justice in the future, just clap, like this,’ and the Moor clapped his hands three times, ‘and say these words, Salamanca Salamanca.’

The horn vanished in front of Mandorlinfiore’s eyes.

‘Thank you, young man,’ the Moor held the horn between finger and thumb.

————— Translated French Text —————

Vous pourriez penser qu'après un début aussi mouvementé de son voyage, Mandorlinfiore aurait maintenant envie du confort de chez lui. Il pensait à ses parents adoptifs et à tout le bien qu'ils pourraient faire avec tout l'or qu'il avait acquis, mais sa quête de venger l'abandon dont il avait été victime bébé le poussait en avant.

Au milieu de la journée, il avait laissé derrière lui le couvert des arbres et se trouvait haut au-dessus des contreforts de Zonza. De là, il pouvait voir le mince ruban scintillant que formait la mer lointaine. Cela lui donna matière à réflexion sur sa quête et alors qu'il contemplait la vue et s'émerveillait de la distance qu'il avait déjà parcourue, il entendit le son d'une cloche de vache derrière lui.

"Ô voyageur," dit un grand Maure. Il guidait un énorme bœuf blanc attaché par une chaîne en argent. "Je crois que tu as quelque chose qui m'appartient?"

"Bonne journée, monsieur," dit Mandorlinfiore, "Si vous pouvez le nommer, vous êtes le bienvenu pour le prendre."

" C'est la Corne de la Justice, la même corne que vous avez trouvée, nettoyée et soufflée hier," le Maure sourit largement, satisfait. "Pour la récupération de la corne, je suppose que vous avez été bien récompensé?"

"En effet, j'ai été," dit Mandorlinfiore, et il plongea la main à l'intérieur de son manteau pour sortir la corne. Il l'examina dans la paume de sa main, "c'est un bel objet, monsieur."

"Si jamais vous avez besoin de justice à l'avenir, il vous suffit de taper dans vos mains, comme ceci," et le Maure claqua des mains trois fois, "et de dire ces mots, Salamanca Salamanca."

La corne disparut devant les yeux de Mandorlinfiore.

"Merci, jeune homme," dit le Maure en tenant la corne entre son doigt et son pouce.