Mandorlinfiore And The Dragons Of Zonza ( French: Mandorlinfiore Et Les Dragons De Zonza ) - Translation Example 35
————— Original English Text —————
As we have seen before in our story a ghost is not seen abroad in daylight very much, but in the dim light of the counting house strong room Escobar, Sandrino and Fabio were quite visible.
‘I have never seen so many treasure chests,’ said Escobar, ‘there must be more gold here than in any other place in the world!’
‘I am faint at the thought,’ said Sandrino.
‘Be quiet,’ said Mandorlinfiore, but the Treasurer had left and there was no chance of the guard hearing their talk through the enormous door, ‘we need to begin counting all of the gold in the chests.’
Mandorlinfiore first counted the treasure chests. There were fifty-two stacked all around the room. He chose one and pried open the lid.
It was empty.
He opened the next one and the next one and found that they were empty too. Once he had opened ten chests and found them all to be empty, he began to worry.
When twenty-two chests had been opened and proven to be empty, he began to fear for his life. Then the twenty-third chest proved to be full, as did all the rest.
Mandorlinfiore dragged all of the empty chests to one side and began counting the gold from one full chest into an empty one. That way he kept track of the gold so that he could not count any twice.
He marked the chests he had counted with a chalk cross and a number and then entered his sums in the ledger on the desk. All the while the ghosts chattered, drunk on the sight of so much gold.
The cat watched Mandorlinfiore inscribe the great book with his quill, ‘Such neat handwriting,’ said the cat, ‘the King likes neat handwriting.’
‘You talk?’ said Mandorlinfiore.
————— Translated French Text —————
Comme nous l'avons vu précédemment dans notre histoire, un fantôme n'est pas souvent vu en plein jour, mais dans la pénombre du bureau de la salle forte, Escobar, Sandrino et Fabio étaient parfaitement visibles.
"Je n'ai jamais vu autant de coffres au trésor", déclara Escobar, "il doit y avoir plus d'or ici que dans tout autre endroit du monde !"
"Je défaille à cette idée", dit Sandrino.
"Taisez-vous", dit Mandorlinfiore, mais le trésorier était parti et il n'y avait aucune chance que les gardes entendent leur conversation à travers l'immense porte, "nous devons commencer à compter tout l'or dans les coffres."
Mandorlinfiore commença par compter les coffres au trésor. Il y en avait cinquante-deux empilés tout autour de la pièce. Il en choisit un et ouvrit le couvercle.
Il était vide.
Il ouvrit le suivant et le suivant et découvrit qu'ils étaient aussi vides. Une fois qu'il eut ouvert dix coffres et les trouva tous vides, il commença à s'inquiéter.
Lorsque vingt-deux coffres avaient été ouverts et s'étaient révélés vides, il commença à craindre pour sa vie. Puis le vingt-troisième coffre se révéla plein, tout comme tous les autres.
Mandorlinfiore traîna tous les coffres vides sur un côté et commença à compter l'or d'un coffre plein dans un coffre vide. De cette façon, il gardait une trace de l'or pour ne pas en compter deux fois.
Il marqua les coffres qu'il avait comptés d'une croix et d'un numéro à la craie, puis inscrivit ses calculs dans le registre sur le bureau. Pendant ce temps, les fantômes babillaient, enivrés par la vue de tant d'or.
Le chat observait Mandorlinfiore inscrire le grand livre avec sa plume, "Une si belle calligraphie", dit le chat, "le Roi apprécie une belle écriture."
"Vous parlez ?" dit Mandorlinfiore.