Santa ( French: Noël D'Un Flic ) - Translation Example 8

————— Original Text —————

For a man who’d just punched one of the most brutal gangsters in London, Max looked pretty cool. He wore a blue shirt, a mid-gray striped jacket and dark pants. He was newly shaven and carried a hint of cologne. She’d gone down the stairs to meet him at the street door rather than let him in to see her humble home. She’d chosen to wear a wrap front midi dress in navy metallic with silver-heeled strappy sandals.

“Hey, do you know a girl called Paula who lives here? She’s beautiful, but she’s not in your league.”

“She got held up at work so I said I’d stand in.”

“She was cute, but you’re breathtaking. When you see her, just don’t mention I said anything.”

She wanted at least to kiss his cheek. He put his hand to the small of her back and guided her toward the Rolls Royce which he’d left parked outside causing a traffic block. Max wasn’t the sort of man to bother about parking regulations. She was torn between talking personal and talking business.

“So, you’ve given one of the McCarthy boys a smack in the gob?”

“I thought that other girl was still at work.”

“She’s working here, Max. How do you think it’s going to play out? These guys can’t lose face. Their whole business model is based on front and terror. If someone like you bangs one of them in the face and gets away with it everyone can see they’re just bullies.”

He took a deep breath.

“You’re right and I know that’s not the end of it. My weakness has always been Justin. These parasite shits don’t scare me but if something happens to me, he’s got no one. To be frank I’d kill the bastards and sit down for my dinner without a second thought.”

“I don’t want to hear that.”

“Of course you don’t. I can’t believe I’m dating a cop.”

“Are you dating me?”

“I hope you’d only look like that if it was a date. You couldn’t walk about like that without some serious protection.”

————— Translated French Text —————

Pour un homme qui venait de mettre au tapis l'un des gangsters les plus brutaux de Londres, Max avait une allure plutôt détendue. Il portait une chemise bleue, une veste rayée gris moyen et un pantalon foncé. Il était fraîchement rasé et une légère fragrance de parfum flottait autour de lui. Elle était descendue les escaliers pour le rencontrer à la porte de la rue, préférant ne pas l'inviter dans son humble demeure. Elle avait opté pour une robe midi à l'encolure cache-cœur en métal bleu marine, assortie de sandales à talons argentés.

“ Hé, tu connais une fille qui s'appelle Paula et qui vit ici ? Elle est magnifique, mais elle n'est pas de ton niveau. ”

“ Elle a eu un empêchement au travail, alors j'ai dit que je prendrais sa place. ”

“ Elle était mignonne, mais toi, tu es éblouissante. Quand tu la verras, ne mentionne surtout pas que j'ai dit quoi que ce soit. ”

Elle souhaitait au moins l'embrasser sur la joue. Il passa sa main dans le bas de son dos et la guida vers la Rolls Royce qu'il avait laissée garée devant, provoquant un embouteillage. Max n'était pas du genre à se soucier des règlements de stationnement. Elle était tiraillée entre l'envie de parler de leur vie personnelle et celle de discuter affaires.

“ Alors, tu as mis un des McCarthy une droite ? ”

“ Je pensais que l'autre fille était encore au travail. ”

“ Elle travaille ici, Max. Comment penses-tu que ça va se passer ? Ces gars-là ne peuvent pas perdre la face. Leur modèle économique repose entièrement sur les apparences et la terreur. Si quelqu'un comme toi leur éclate le visage et s'en tire, tout le monde peut voir qu'ils ne sont que des tyrans. ”

Il inspira profondément.

“ Tu as raison et je sais que ce n'est pas la fin. Ma faiblesse a toujours été Justin. Ces parasites ne me font pas peur, mais s'il m'arrive quelque chose, il n'a plus personne. Franchement, je tuerais ces salauds et je passerais à table sans une seconde d'hésitation. ”

“ Je ne veux pas entendre ça. ”

“ Bien sûr que non. Je n'arrive pas à croire que je fréquente une flic. ”

“ Est-ce que tu me fréquentes ? ”

“ J'espère que tu ne ferais cette tête que si c'était un rendez-vous. Tu ne peux pas te promener comme ça sans une protection sérieuse. ”