Stalkers ( French: Guetteurs ) - Translation Example 1

————— Original Text —————

The smell of old timber.

Dust on the nose.

The echo of footsteps through the rafters.

Angelina paused in her step to glance around her at the unfinished warehouse walls. Most of the shutter-style wooden window frames were either stuck or cracked open, and the majority of the glass was broken. Maybe gone to time.

A breeze rustled the teen’s hair offering the abandoned building little reprieve from its haunting emptiness. She knew this place, but where from? And how did she get there?

All Angelina saw behind her was thin dust over scraped wood. And two sets of prints. She suddenly became aware of the fact that she wasn’t alone.

The young man to her left was glancing back the way they’d just come too. A faded, brown cloak was tied around his waist with a wide leather band. His collar and sleeves dipped and fell into wide folds up top and below.

The pouch at his back suggested a traveller supported by simple pants and flat-soled boots made of some sort of animal hide. He certainly hadn’t come from anywhere near, not dressed so comfortably, not with clothes in such good repair.

“I don’t see anything,” the other mumbled. His voice carried a soft echo.

A nod. Not her, not her companion.

Angelina glanced down finding her own clothing a match for the young man beside her, but her clothes were oversized like she was wearing another’s garb.

Like she was wearing another person!

————— Translated French Text —————

L'odeur du vieux bois.

De la poussière sur le nez.

L'écho des pas résonnant à travers les poutres.

Angelina marqua un arrêt, jetant un regard autour d'elle vers les murs inachevés de l'entrepôt. La plupart des encadrements en bois de style persienne étaient soit bloqués, soit fissurés, et la majorité des vitres était brisée. Peut-être que le temps les avait emportées.

Une brise caressait les cheveux de l'adolescente, offrant à ce bâtiment abandonné peu de répit face à son vide obsédant. Elle connaissait cet endroit, mais d'où ? Et comment y était-elle parvenue ?

Tout ce qu'Angelina apercevait derrière elle n'était qu'une fine poussière sur du bois usé. Et deux empreintes. Elle prit soudainement conscience du fait qu'elle n'était pas seule.

Le jeune homme à sa gauche se retournait également dans la direction d'où ils venaient. Une vieille cape marron était nouée autour de sa taille à l'aide d'une large ceinture en cuir. Son col et ses manches tombaient en larges plis, en haut comme en bas.

La bourse dans son dos indiquait qu'il était un voyageur, vêtu de simples pantalons et de bottes à semelles plates, confectionnées à partir de ce qui semblait être du cuir d'animal. Il ne semblait pas venir d'un endroit proche, pas habillé aussi confortablement, pas avec des vêtements en si bon état.

"Je ne vois rien," marmonna l'autre. Sa voix portait un écho doux.

Un hochement de tête. Ni elle, ni son compagnon.

Angelina jeta un coup d'œil à ses propres vêtements, trouvant qu'ils correspondaient à ceux du jeune homme à ses côtés, mais ses habits étaient amples, comme si elle portait les vêtements de quelqu'un d'autre.

Comme si elle revêtait la tunique d'une autre personne !